Tant que j'y suis, et suite à une demande par Message privé : Voici une partie de mes écrits. (N’essayez pas de comprendre, je vous le dit tout de suite vous n'y arriverez pas!)
Il est un il est seul.
Il est un il est seul.
Il est le seul que je déteste,
Car il n’est que faiblesse !
Il est un, il est seul.
Il l’a emportée,
Ma jumelle tant aimée !
Il est un, il est seul.
Pour moi il n’est rien !
Juste un gouffre sans fin !
Il est un il est seul.
Il est « dieu » pour vous tous !
Pauvres Moutons qu’il étouffe !
(13 Mars 2002, 15h33)
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Ode à l’ami
Noire est ton âme aujourd'hui mon ami
Toi qui souffre sans bruit
Toi qui pleures sans cris
Ce sera peut-être la dernière fois cette nuit
Adieu mon ami
Triste est mon coeur aujourd'hui,
Mais je comprends ce que tu dis,
Car pour aimer d'un amour trop épris,
Tel est le prix!
Adieu mon ami
Triste je resterais dans la vie,
Car dans ma gorge,
Ton suicide se nouera en un cri!
Adieu mon ami!
J'ai compris aujourd'hui !
(25 janvier 2005; 22h 38)
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Prêt ?
Pour la préface de ma vie, c'est net et précis !
La préposée accoucheuse m’a laissé tomber.
Zut !
Dédé rattrapée à 5cm du sol précaire !
Hé non, pas de bol crever là c’était trop précoce.
La mort faisait juste son premier coucou !
En guise de prélude d’une vie précipitée.
Quelques mois plus tard, tentative suicidaire d’une mère trop renfermée !
Deuxième présage, mais à cet âge, on ne comprend pas encore tous les usages.
Après 6 ans d’école primaire ; face à de sales mioches prédisposés à la cruauté !
J’ai foncé, même si je n’étais pas préparée, à ce jeu prédestiné !
Ensuite, arrive le 28 septembre 1998, date gravée dan mon cœur à jamais !
Elle avait 14 ans, c'était impossible à prévoir, mais pourtant, elle l’avait préétablit.
Mort trop fracassante d’une amie si peu prévisible !
3 octobre 2001, assassinat prémédité, 9 tours précis pour étouffer la préceptrice.
Bingo !
Tout est déterminé, le présent, le futur et même le passé.
Alors je voudrais que vous sachiez bien, vous qui vous croyez si prééminent !
Avant de prétendre et préciser vos préjugés, sur ce que vous pensez être vrai !
Pré-fermez là un peu, bande de prétentieux sans préférences.
Serrez-vous préparés ?
Lorsque durant 9 secondes précipitées, vous vous sentirez étouffé ?
Lorsque vous comprendrez avec précaution, que la faucheuse aura le dernier mot, le dernier souffle, le dernier
Moment, si ultime, si important de votre vie si précieuse ?
Alors ?!
Serrez vous prêt ?!
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Maman
Ma maman, c’est un chant !
Qui a traversé bien des temps.
Elle respire la tendresse,
Même dans sa détresse !
Elle m’a donné tout son amour,
Depuis le premier jour,
Où, j’ai ouvert de grands yeux
Sur ce visage merveilleux !
Pourtant aujourd’hui ma maman,
Souffre énormément !
Elle voudrait être en pierre !
Mais a omis de penser,
Qu’une pierre s’effrite,
Et redeviens poussière
J’aimerais colmater cette pierre,
Pour la conserver des année lumières,
Mais il faut se résigner, j’aurais beau colmater,
Malgré tout elle va se fissurer…
Telle est la dure réalité !
Néanmoins pour l’éternité,
Dans mon cœur va s’élever,
Le chant si doux de ma maman,
Et ce pour encore longtemps
Merci à toi, de m’aimer sans compter
C’est ce qui fait toute ton originalité !
(27 novembre 2005, 0h35 )
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Mourir c’est …
Mourir c’est …
Déployer mes ailes.
Prouver que la mort est belle.
Mourir c’est …
Une immense délivrance.
Mettre fin à la souffrance.
Mourir c’est …
Être le langage du monde.
Fermer les yeux une seconde.
Mourir c’est …
Sortir de ma prison de chair.
Ne plus imposer mon caractère.
Mourir c’est …
Décevoir les quelques uns, qui m’ont crus forte…
Si vous saviez…
Je suis mieux morte !
(27 février 2006, 3h45)
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Au coeur sincère, tout est-il réellement accordé?
Te connaître, c’est savoir qu’il y a toujours quelqu’un sur qui je peux compter.
Quelqu’un de confiance qui me donne la force et le courage de continuer,
Dans les moments difficiles, lorsque mes larmes se mettent à couler.
Malheureusement aujourd’hui mon esprit se meurt de trop penser.
Á cette bouche au pli enfantin qui appelle incessamment le baiser.
Á ces instants passionnés, en secret désirés.
Impossible de me résigner !
Pardonne moi de t’aimer !
Mais … personne n’est parfait !?
Il parait qu’au cœur sincère, tout est accordé !
Le mien ne peut que saigner;
D’oser te chérir quoi qu’il puisse arriver,
De lamentablement espérer ta tendresse, ta complicité.
Et ton amour sans égal pour l’éternité.
(24 Mars 2006, 22h00)
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Louise
Louise était une rose
Au parfum suave et discret
C’était une fleur que l'on arrose
Avec des larmes de regret !
Amitié qui finit,
N’avait point commencé !
Pourtant j’aurais désiré,
Pouvoir dormir à tes cotés,
Rêver des Anges, au creux de tes bras
Car désormais tu dors avec les anges.
Et moi je rêve de toi !
Puis, doucement le réveil
Me ramène à la dure réalité
Un tas de chair décomposé
C’est tout ce qu’il reste de toi
Et ce pour l’éternité !
(29 Octobre 2003, 0h01)
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Fatalis Metalus Generation
Ça commence, c'est brutal.
C’est bruyant, ça fait mal.
Tes neurones se contractent.
Tout à coup, le bruit éclate !
Entre le ciel éclatant.
Et le sol vrombissant.
Soudain la gratte vient rugir
Sur un air qui vient surgir
Le corps transporté par la musique
Et les rythmes atypiques
Éclate toi au-delà du son
Là où tout se confond
Où le ciel rejoint la nuit
Où la musique chasse l’ennui !
(19 avril 2006)